Le principal candidat de l’opposition sénégalaise, Ousmane Sonko, vient de voir sa dernière chance de participer à l’élection présidentielle s’envoler au terme de la décision du conseil constitutionnel qui a tout simplement invalidé sa candidature car le dossier présenté par ce dernier était incomplet.
La juridiction suprême du sénégal, en la matière, a rendu son verdict le 05 janvier de l’annnée en cours, dans le cadre de la participation où non d’Ousmane Sonko au scrutin présidentiel de février prochain.
Du bonheur au malheur, c’est en effet, l’expression qui pourrait caractériser la situation dans laquelle se trouve actuellement le membre du Pastef qui avait pourtant reçu, une décision de justice rendue en décembre 2023, l’autorisation de participer à la joute électorale dans le pays de la teranga.
En effet, l’instance juridictionnelle a jugé irrecevable la candidature de Sonko. Dans cette affaire qui defraye la chronique, l’institution compétente a declaré à la presse, par la voix de son avocat Ciré Cledeor Ly, que le dossier de l’opposant était incomplet.
Si le conseil conseil constitutionnel reste focus sur sa décision, dans le clan Sonko, c’est le scandal, ses partisans n’y voient qu’une mascarade pour écarter « celui qui serait le favoris de cette élection »
En somme, notons que la candidature de la figure de proue de l’opposition était, par ailleurs, entachée par l’emprisonnement du leader du Pastef. Toutefois, la formation politique de Sonko ne baisse pas les bras, elle envisage déjà un plan B en la personne de Bassirou Diomaye Faye l’un collaborateur de Sonko qui lui succéder.
Une sagesse africaine dit ceci << la langue du serpent est plus rapide qu’un lézard sur un mur>>