Yannick Noah Belingui, un gabonais de 37 ans est l’auteur du quadruple meurtre qui a eu lieu dans ville de Franceville. Après avoir ôté la vie du couple Balenda et celle de leurs deux fillettes, l’assassin dépossédait le père de famille de sa tête et de ses organes génitaux, pour soi-disant les manger.
C’est au quartier Montagne Sainte, dans le 2eme arrondissement de Franceville que Yannick Noah Belingui, un gabonais sans emploie, la trentaine révolue commettait un crime d’une atrocité effroyable. Dans la nuit du 05 au 06 janvier, le trentenaire massacrait à l’aide d’une machette, Jeff Venceslas Balenda, sa compagne Francisa Komba et leurs deux enfants âgés de 07 et 02 ans.
Après avoir été arrêté par les agents de la police judiciaire de Franceville, Yannick déclare que c’est à la suite d’une prise de bec liée à une affaire de bouteille de gaz que le pire serait arrivé. Il dit avoir décapité le corps du père, gardant la tête et les parties génitales pour les déguster.
Signalons que, le meurtrier est un récidiviste connu des services de renseignements pour possession de stupéfiants. On en vient alors à se poser la question :
S’agit-il d’un acte de cannibalisme ou d’un crime rituel ?
Aujourd’hui, des criminels de tous genres sont arrêtés puis remis en liberté, au motif de la réintégration sociale. Mais de quelle réinsertion parle-t-on lorsqu’un récidiviste tue de sang-froid quatre êtres vivants ? La clémence juridique accordée à ce genre d’individu ne favorise-t-elle pas le Grand banditisme ?